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Comment faire de l’endurance moto ?

endurance moto

Le monde de la moto est fascinant, avec de nombreuses disciplines différentes parmi lesquelles choisir. La discipline d’endurance est l’une des séries de courses de motos les plus populaires et les plus difficiles au monde aujourd’hui. Voici certaines choses que vous devez savoir sur ce sport automobile passionnant !

Les épreuves d’endurance

Les épreuves d’endurance sont des activités hors route où, comme leur nom l’indique, l’accent est mis sur le test de l’endurance humaine et de la machine. Mais la résistance humaine est bien plus mise à l’épreuve que l’effort mécanique. Ces épreuves peuvent être chronométrées ou non chronométrées, en général, il existe deux grands types de courses d’endurance :

  • course sur route (ou roadbook) ;
  • événement de vélo de montagne.

Commençons par le premier type. Il s’agit d’une course sur des routes publiques fermées avec une limite de temps qui peut être fixée par un événement organisé (par exemple un marathon) ou laissée ouverte jusqu’à ce que les concurrents atteignent leur meilleur temps personnel, souvent fait en groupes appelés équipes. Le deuxième type est une compétition individuelle sur un terrain technique tel que des sentiers forestiers, des sentiers à voie unique et d’autres terrains difficiles utilisant uniquement des vélos de montagne.

Le circuit d’une course d’endurance moto

Il existe des pistes de course prédéfinies d’une variété de longueurs et de terrains. Le parcours est mis à disposition des participants sous forme de fichier PDF, imprimable ou téléchargeable sur le site internet. Et le terrain peut être hors route ou sur route, selon l’endroit où vous voulez utiliser votre moto. Question longueur, les circuits peuvent être entre 5 km à 12 km et parfois même plus. Plus la piste est longue, plus il faudra de temps à votre corps pour se remettre de l’effort physique, c’est normal.

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Sachez que la longueur de la piste dépend de l’événement auquel vous participez. Par exemple, si vous faites une course d’endurance où il n’y a pas de limites de temps, une piste plus longue n’a pas d’importance. Si toutefois il y a un nombre défini de tours (comme un tour par kilomètre), les organisateurs doivent construire leurs pistes en conséquence, car sinon certains coureurs iraient trop vite ou trop lentement, tandis que d’autres pourraient ne pas être en mesure de terminer tous ces tours avant que leur énergie ne s’épuise complètement.

L’équipement du participant à une course d’endurance

Le pilote transporte un pneu de secours et une trousse à outils ainsi que du carburant de rechange. Cela peut aller jusqu’à 500 cm³ dans chaque cas, selon le type de moto utilisé. Bien sûr, la quantité de carburant transportée variera en fonction de la distance que vous comptez parcourir et de votre niveau d’expérience. Si vous débutez, il est préférable de ne pas transporter trop de poids avec vous. Mais vous aurez besoin des outils suivants :

  • clé pour changer les roues et les anneaux ;
  • clé pour ajuster les chaînes ;
  • petit tournevis à tête plate ou autre outil facile à utiliser.

Logiquement, vous en déduisez déjà que cela signifie que le participant doit faire tout le travail lui-même si la moto tombe en panne. Si vous n’êtes pas enclin à la mécanique, cela peut être un défi. Mais si c’est le cas, c’est idéal pour tester à la fois vos compétences mécaniques et votre endurance. À la fin de chaque tour, il y a un arrêt au stand où les co-pilotes peuvent faire le plein de leurs motos. Cela dure généralement environ 5 minutes et a lieu à la fin de chaque tour (ça dépend).

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À quoi s’attendre quand vous participerez à une course d’endurance moto ?

Les épreuves d’endurance moto exigent beaucoup d’endurance de la part du pilote et de la moto. Cela signifie que le participant doit non seulement se préparer mentalement, physiquement, mais aussi garder son deux-roues sur le qui-vive. Et pour cause, les épreuves d’endurance moto imposent beaucoup de ténacité de la part du pilote et de la moto. Le minimum, c’est que le motard doit être en bonne forme physique, ce qui signifie qu’il doit être capable de pousser et de contrôler la moto sans impact négatif sur son corps. Il doit également être préparé pour le long terme, afin qu’il sache jusqu’où il peut rouler sans se fatiguer ni avoir de problèmes avec son équipement. Il en va de même pour le vélo lui-même : il doit être bien réglé et bien entretenu afin que vous ne soyez pas aux prises avec quoi que ce soit pendant ces heures épuisantes.

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Written by Nicolas Jensif

Je m'appelle Nicolas et j'ai toujours été passionné de motos. J'ai grandi dans les Vosges, en France, entouré de forêts et de routes sinueuses idéales pour faire du motocross. À 16 ans, j'ai eu mon premier vrai crosser : une 125 cm3 Yamaho tzr. Depuis lors, je n’ai plus quitté la moto ! Après avoir obtenu mon permis A2 à 18 ans, j’enchaîne avec le permis circuit que je passe avec succès au Mans. Cela me permet d’intégrer une team amateur sur une Suzuki gsr 600 en championnat de France Promo Sport Open 600cm3 où je cours ma première saison en 2012 (dont on se souvient). En 2013 ,je fais mes débuts professionnels chez un journal Moto comme journaliste essais après-ventes puis rédacteur technique occasion/concessionnaire . Puis c’est le poste de webmaster adjoint qui s‘ouvre à moi fin 2014 .Je suis maintenant responsable des publications chez histoiredemotos.fr

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